NOM ϟ Sterne - Wilson. PRÉNOMS ϟ Casey Ruth. ÂGE ϟ 28 ans. DATE & LIEU DE NAISSANCE ϟ 13 mai 1983, à Johnson Creek SURNOM(S) ϟ Caca, Casse, La brute, Le Bonhomme, mais le plus répondu est surement black panther à cause de son côté assez félin . PROFESSION ϟ Tatoueuse. STATUT SOCIAL ϟ célibattante. AVATAR ϟ Megan Fox.

drôle ϟ violente ϟ sensuelle ϟ vulgaire ϟ sensible ϟ dangereuse ϟ fidéle ϟ folle à lier ϟ loyale ϟ provocatrice ϟ caline ϟ lunatique ϟ aimante ϟ mauvais caractère ϟ naturelle ϟ mauvaise joueuse ϟ serviable ϟ gueularde ϟ franche ϟ impatiente ϟ généreuse ϟ grognasse ϟ cuisine bien ϟ fuit souvent ses responsabilité ϟ adorable quand elle le veux ϟ bordélique.

elle se léve très tôt pour promener ses deux dogues allemands : Pamplemousse & Pampi ϟ Elle dit souvent des gros mots sans raison ϟ lorsqu’elle est très enervée, elle se met à cuisiner des gateaux ϟ aussi surprenant que ça puisse l’être, elle n’écoute que de la musique classique et apaisante ϟ elle jette toujours ses affaires n’importe où, en soirée, elle perd toujours ses téléphones ϟ amatrice des armes, elle a commencé à les collectionner ϟ elle a peur des souris, et ne dors jamais dans le noir.ϟ elle adore les films d’horreur , le gore et la panique pendant tout le temps du film ϟ avant d’aller dormir, elle vérifie que l’alarme est déclanché depuis qu’elle s’est fait cambrioler ϟ elle se ronge les ongles ϟ A table, elle ne supporte pas qu’on mange la bouche ouverte et/ou qu’on pose les coudes sur celle-ci. ϟ Elle se croit parfois invincible, plus forte que tout et que tout le monde ϟ lorsque rien ne va, elle a pour habitude de partir pour quelques jours/mois le temps de se faire oublier ϟ elle a arrêté de fumer depuis quelques mois, mais garde l’habitude de tenir n’importe quoi entre ses doigts ϟ Elle n'a pas de telephone portable, ni d'ordinateur et ne regarde que rarement la télévision.

Mes parents. Un cauchemar, on aurait du leur interdire de procréer, deux individus aux idées bien trop fermés, qui ont passé le plus clair de leur temps à promouvoir Jésus , plutôt qu’à réellement se soucier des problèmes actuels de notre société. Pendant presque toute mon enfance, et ceux jusqu’à mon début d’adolescence, je n’avais le droit de rien faire. Et c’était toujours les mêmes chose que j’entendais : « une jeune fille de bonne famille doit toujours serrer les cuisses lorsqu’elle s’assoit » , « ne pose pas les coudes sur la table, tu invites le diable à notre table ! », au début ça ne me dérangeait pas parce que je pensais que c’était partout pareil. C’était pas faux, lorsqu’on sait que jusqu’à mes 10 ans j’ai fréquenté l’école privée et très religieuse de Johnson Creek. Puis lorsqu’ils ont divorcé, à deux jours de mon onzième anniversaire, Ashton et moi sommes resté avec notre mère, tandis que quelques mois après mon père se mariait avec la femme la plus étrange et la plus moche du monde.

Mais passons, ne pouvant plus payer l’école privée pour mon grand frère et moi, ils ont tout deux décidés de nous envoyer au public. L’horreur, j’avais 12 ans, une robe à fleur porté avec d’adorable paire de claquette que mes parents m’avaient achetée à l’occasion de cette nouvelle rentrée. Et très tôt je devins le bouc émissaire des autres élèves. Quand j’y repense, j’ai peut être un peu mérité le surnom de « Laura Ingalls ». J’ai compris, qu’il fallait que je troque mes robes fleuris contre de bons vieux jeans acheté en cachette bon marché, ma mère ne voyait pas ça d’un très bon œil, mais elle était trop occupée à parler avec Elise, son amie du dimanche, sur la nouvelle femme de mon père pour me gronder.

Puis, j’ai aussi commencé à trainer avec les gars, plus sympa que les filles et beaucoup moins prises de tête. Plus tard, je m’affirmais, j’abandonnais ma longue chevelure pour une petite coupe plus pratique et moins féminine. Je m’autorisais à dire toutes les grossièretés qu’à la maison je n’osais même pas penser de peur d’être punie. Il faut savoir que les punitions que mes parents m’infligeaient n’avaient rien de comparable au : « va dans ta chambre, PC, téléphone et panoplie autorisée », d’ailleurs je n’ai du coup jamais adhérer avec la nouvelle technologie. Lorsque j’étais puni, on me privait de tout, alors déjà qu’à la base je n’avais presque rien. Imaginez donc, le jour où l’on me surprenait à faire la plus minime des bêtises. Mes parents ont toujours été sévère avec Ashton et moi, surement plus avec nous qu’avez leur autres enfants qu’ils ont eu avec leur partenaires différents, parce que oui mon père a fini par avoir deux enfants avec la moche, et quant à ma mère elle a eu Georgia, ma peste de petite sœur avec un homme qu’elle a rencontré dans une autre église le jour où celle qu’on avait pour habitude de fréquenter à fermer pour cause d’inondation.

Enfin bref, je disais donc qu’au collège j’ai fini par devenir une sorte de petite brute, les filles me craignaient pour la plupart vu mon influence sur les mâles du bahut et s’imaginaient surement que j’allais enlaidir leurs réputations, et au fond elle n’avait pas tord parce que je prenais un malin plaisir à me moquer d’elles à chaque fois qu’elles tournaient autour d’un de mes potes. C’est vrai, je me transformais en sorte de femme idéal tout en instaurant une sorte de limite entre les garçons et moi pour qu’ils ne voient pas justement le fait que j’étais une fille mais plutôt une des leur. Jusqu’à mes 16 ans, aucun garçon ne s’est réellement intéressé à moi comme prétendante copine. J’étais Casey, la fille du quartier qui acceptait de remplacer Fred au but lorsqu’il se foulait la cheville, ce qui arrivait presque tout les trois jours.

C’est lors d’un voyage en famille, à Miami que j’ai perdue ma petite fleur. Je ne me rappelle même plus très bien du garçons, mais je m’étais toujours dit que le jour où je me sentirais prête à passer l’étape du sexe, je ne coucherai pas avec quelqu’un que je connais. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs, peut être parce que j’avais peur de ne pas assurer et de perdre la face devant lui. Je ne pensais pas non plus être capable de tomber amoureuse, j’avais peur de devenir aussi psychopathe que les tarées de filles que je voyais tourné autour de Maxence et Clayton à l’école. Clayton se moquait également d’elles, il s’amusait d’elle un temps pour les jeter par les suites, je trouvais ça plutôt cool qu’il intéresse autant de filles mais en même temps, il m’arrivait d’être légèrement irrité par tout cela. Surement parce que c’était mon meilleur ami, et que ça me faisait parfois de la peine qu’aucunes filles ne lui suffisent. Ou surement, parce que malgré que je me jurais du contraire, j’ai toujours eu bien plus que de la sympathie pour lui, et qu’à force de vouloir n’être que sa meilleure amie, j’avais fini par regretter ce statut. Je me contentais de lancer cette débile réflexion que j’avais pour habitude de dire et qui avec le temps avait perdu toute valeur puisque moi-même je n’y croyais plus : « Clay, c’est mon bro’ Clayton ! » avec ce large sourire qui effaçait tout soupçon que les autres pouvaient avoir à notre égard.

De son côté, j’ai toujours cru qu’il me voyait comme un mec, parce qu’il s’était habitué à tout me raconter, et quand je dis tout les parties gores que j’aurais préféré ne jamais savoir. De son côté, il était là pour me limiter niveau conneries, parce que plus les années passé plus je prenais un malin plaisir à provoquer les gens, et maintes fois je me retrouvais au milieu d’une baston pour le « fun ». Généralement, Clay sautait également, et il finissait toujours par se faire mal, j’en riais parfois même si je me vexais du fait qu’il ne croit pas en ma force. Pourtant, combien de fois, je lui arrachais des petits grognements lorsque je lui donnais une tape amicale, il disait que j’étais violente.

Mes parents m’ont envoyé en internat, lorsque Julie la Peste s’est moquée de moi lorsque je me changeais parce que j’avais sois disant la trace de mon bronzage apparent. Il faut dire que celle-ci, j’avais envie de la butter depuis bien plus longtemps, pour Clay, la façon dont elle se jouait de lui m’énervait mais je n’osais pas le dire. Alors, un jour alors qu’elle me faisait chier à parler de lui avec ses copines comme le parfait idiot de service, j’ai pris sa tête et je l’ai cogné contre le casier jusqu’à lui briser le nez, je me suis fais expulsé, j’ai du chercher ou dormir parce que ni ma mère ni mon père ne voulait d’une « sauvage » à la maison, avant qu’ils ne décident de m’envoyer dans un internat pour fille. J’y suis restée jusqu’à être diplômer et je ne rentrais que rarement à la maison. Les filles étaient légèrement frustrée, et je crois que c’est un peu grâce à elle, que mon autre coté sensible s’est réveillée. J’ai beaucoup appris de l’internat, je dois reconnaitre que pour une punition c’est la meilleure que mes parents m’ont fait.

Bon soyons d’accord, beaucoup de filles étaient bizarres, et nymphomanes à cause de ce système trop clos, mais je crois que ça m’a plutôt fait du bien de me rappelle de ma vraie nature. Par la suite, j’ai eu quelques copains, rien de sérieux et pour la plupart bien plus âgée que moi. Lorsque j’ai enfin été diplômée, mes parents ont cru pouvoir encore me dicter ce que j’allais faire : « ma fille sera avocate, son caractère est fort ! Elle sera défendre les plus démunie », lançait ma mère pour se venter devant ses copines, et elle voulu me tuer lorsqu’elle apprit pour la fac des beaux arts. Elle refusa, mais je ne le lui laissais pas vraiment le choix. Je me rappelle bien de cette interaction que l’on eut Quelques temps après, je partais au Texas, parce que j’avais toujours voulu y vivre et que c’était là où se trouvait l’université où j’avais été admise. Clay et moi ne nous sommes pas revu depuis le lycée, ou plutot depuis cette derniére nuit, je savais que c’était la dernière fois qu’on allait se voir en temps que pote, parce que je n’ai jamais accroché au moyen de télécommunication et que je n’ai jamais été douée pour les lettres et pour les visites surprises. Ainsi, nous fîmes chacun sa vie de son côté, mais je pensais très souvent à lui, et que lorsqu’un ami a été bon avec vous, vous ne l’oubliez jamais.

Au Texas, j’ai abandonné mes études à la 3éme année, j’ai cru à l’amour. Trop crédule que je suis, un bar, un soir alors que je n’avais envie de rien faire que de me saouler, un groupe de rock apparemment connu s’est produit. Je n’ai jamais trop adhéré à ce genre de musique, contrairement à Clay, mais passons. J’avais plus tôt sympathisé avec le barman, et lorsque parfois j’étais trop ivre pour rentrer seul, il se proposait de m’accompagner chez moi. Les Texans aussi sont de chouettes gens, alors ce soir, il m’avait invité à l’attendre dans les loges, le temps qu’il se change pour me déposer, au même instant un des musicien du groupe passait par là, et je me suis (comme à mon habitude) foutu de sa gueule lorsqu’il manqua de tomber par terre. Quelques mois plus tard, il me passait l’anneau au doigt, avant de disparaitre suite à une violente dispute où je lui envoyais un vase à la gueule pour un texto envoyée par une de ses fans hystérique. 24 ans, sans diplôme ni avenir, c’est comme ça que je commençais ma vie d’adulte. Ma mère me priait de revenir à la maison, elle avait trouvé la solution à mon problème, me marier au fils moche de sa voisine tout aussi bonne femme qu’elle. Un jeune homme très moche, et qui avait fait de brillantes études.

Je décidais d’aller me faire tatouer la tête de ma chienne morte cette même année, et à la minute même où je mis le pied dans l’enseigne que je compris que c’était ça que je voulais faire. Je m’associais donc à un allemand, dans un petit patelin très loin de la ville où j’habitais, et j’apprenais à devenir tatoueuse. Ensuite, j’ouvris mon salon pas loin de chez moi mes les affaires ne se faisant pas, et commençant à manquer d’argent, je me mis en tête de revenir chez moi.

PRÉNOM ϟ amal. ÂGE ϟ 20 ans. AVIS SUR LE FORUM ϟ j’adore, le design et le contexte sont irréprochables. ENDROIT OÙ VOUS L'AVEZ TROUVÉ ϟ c’est clayton même qui m’a proposé d’y faire un tour TYPE DE PERSONNAGE ϟ scénario. CODE RÈGLEMENT ϟ you wanna be a looser like me VOTRE DERNIER MOT ϟ pas de dernier mot Jean-pierre .