NOM ϟ Strugatsky. PRÉNOMS ϟ Rosemary Euphrasie ÂGE ϟ 19 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ϟ Le 24 Août 1992 SURNOM(S) ϟ Rose, Rosy PROFESSION ϟ Etudiante. STATUT SOCIAL ϟ Célibataire. AVATAR ϟ Emma Stone.

confiante ϟ lunatique ϟ mature ϟ mentalement atteinte ϟ compréhensive ϟ atteinte de TOC ϟ pacifiste ϟ réservée ϟ souriante ϟ franche ϟ fière ϟ rancunière ϟ déterminée ϟ susceptible ϟ à l'écoute ϟ parano ϟ sincère ϟ angoissée ϟ ouverte d'esprit ϟ imprévisible.

compte les marches en montant les escaliers ϟ fuit le nombre treize comme la peste ϟ regarde l'heure avant de dormir ϟ boit du café tous les matins ϟ fume comme un pompier ϟ boit comme un trou en soirée ϟ analyse les faits et gestes des gens ϟ ne porte jamais de rouge ϟ cuisine souvent des cupcakes ϟ ne mange pas les M&M's rouges ϟ se lave les mains après chaque activié ϟ a la phobie des couteaux ϟ tue toutes les araignées qu'elle voit ϟ trie ses aliments selon la taille ϟ chante dès qu'elle écoute de la musique

Je m'appelle Rosemary Euphrasie Strugatsky, je suis née un certain 24 Août 1992 à Seattle dans l'état de Washington, c'est du moins ce que disent mes parents. J'ai eu une enfance des plus normales, au moins au début, je suis fille unique même si j'étais sensée avoir un petit frère à l'âge de cinq ans mais il est mort-né, je me souviens encore du chagrin de mes parents, ils n'arrivaient pas à s'en remettre... C'est après ce tragique événement que tout a changé chez nous. Mon père qui était médecin a décidé de tout arrêté et d'acheter une ferme, c'est une des raisons principales de notre déménagement à Johnson Creek quand j'avais treize ans. Je n'ai jamais aimé ce chiffre là, treize, pour moi c'était le chiffre où tout a changé dans ma vie, mon frère était « né » le treize septembre, il faisait treize degrés dehors ce jour-là et j'avais treize bonbons dans la main. Bref, certaines personnes peuvent penser que c'est de la superstition mais pour moi ce n'est pas ça, à chaque fois que le chiffre treize est apparu dans ma vie, quelque chose de mauvais s'est passé. Comme par exemple ce treize janvier de l'année de mes quinze ans, il faisait pas beau ce jour là et je penses que le temps se mariait très bien avec mon humeur du jour, en même temps, j'en voulais toujours à mes parents d'avoir voulu déménager ici, il n'y avait rien à faire et je devais me taper les allers-retours en train pour aller à mon collège : le Rufus King High School, je détestais ce collège. Tout d'abord parce qu'il y avait treize classes en tout et ensuite parce que les élèves qui y étaient, et bien je pouvais tout simplement pas les supporter, toutes les filles étaient des espèces de pimbêche sans personnalité, racontant leurs plans culs et leurs soirées à tout le monde, mais au fond je suis sure qu'elles se scarifiaient tous les soirs pour oublier la douleur de leur stupide vie sans intérêt. Et puis il y avait aussi les garçons, alors eux, je crois que c'était les pires, toujours à se la péter, à se raconter leurs histoires avec les filles dont je parlais précédemment, et le pire je crois, c'est qu'ils étaient tous fiers de raconter ça, je comprends pas les personnes comme ça, pour moi c'est personnel, je le garde pour moi... Enfin bref, je m'éloigne du sujet, ce « fameux » treize janvier donc... c'est le pire jour de mon existence, je rentrais ce cette pourriture de collège tout en écoutant de la musique et marchant tranquillement de la gare jusqu'à chez moi, mon père venait habituellement me chercher mais aujourd'hui, il m'avait envoyé un message me disant qu'il ne pourrait pas venir me chercher. Le fait de faire le trajet à pied ne me gênait pas du tout, bien au contraire, c'était un moyen de faire le vide dans mon esprit. Une fois que je vis le portail de la ferme au loin, je rangeais mon iPod et me dirigeais vers l'entrée de la maison tout en souriant, j'aimais bien rentrer chez moi le soir et racontais à ma mère ma journée ; si seulement je n'étais pas rentrée ce soir là... Je venais de pousser la porte de l'entrée tout en lançant mon habituel « C'est moi ! » à ma mère qui me répondait un « Je suis dans le salon ma chérie », mais ce soir la, rien du tout, j'appelais donc mon père mais lui non plus ne répondais pas, je commençais à m'inquiéter, ils devaient surement me faire une blague. Je rentrais donc dans le salon tout en souriant, sourire que je perdis très rapidement quand je vis ma mère, un verre à la main avec dedans un liquide rouge qui n'était surement pas du vin. Une fois que je fut assez proche d'elle, je me planta devant elle, ma mère avait le regard vide, je m'approchais un peu plus et me rendit compte qu'elle était morte, comment ? Ça je l'ignorait encore mais je ne tardais pas à le découvrir, ce qui m'intriguais le plus était le sang dans le verre, à qui est ce qu'il pouvait bien appartenir ? Ma réponse je l'eut quelques secondes plus tard, c'était celui de ma mère, son assassin lui avait entaillé le poignet et avait fait en sorte de remplir le verre avec le sang et une fois qu'il fut plein de le mettre dans la main de ma mère laissant le reste du sang couler sur le plancher. Je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps en voyant la scène qui se passait sous mes yeux et cherchait désespérément mon père dans la maison, quand j'entendis du bruit venant de leur chambre, je montai les escaliers quatre à quatre et ouvrit la porte assez violemment tout en pleurant mais ma surprise fut une des plus grandes, je vis mon père, un couteau plein de sang à la main. Bizarrement, mes larmes s'arrêtèrent d'un coup, j'ouvris la bouche mais aucun mot ne sortit, mon père me fixa avec ses gros yeux globuleux remplis de larmes, il s'approcha de moi mais je me reculais.
PAPA - « Rosy, je suis désolé... Je ne voulais pas... »
Et là, je le regardais, je sentais de la fureur grandir en moi, je savais pas trop comment réagir donc je me contentais de lui dire ça.
« Tu es désolé et tu ne voulais pas ? Et si je te fous mon poing dans la gueule, je pourrais dire la même chose ? »
En temps normal je n'étais pas violente mais dans les circonstances actuelles, je ne pouvais pas rester calme, je m'approchais de mon père, lui mettait mon poing dans la figure et appelais directement les policiers qui ne mirent pas longtemps à arriver. Je les regardais amener mon père dans leur fourgon en direction de la prison là où il finirait probablement sa vie pour mon plus grand bonheur.
Après cet épisode assez douloureux, tout bascula à nouveau dans ma vie, j'avais fait de grosses économies et grâce aux juges durant le procès de mon père, je réussis à récupérer tout son argent et il en avait, je peux vous l'assurer. Après l'enterrement de ma mère, enfin l'enterrement c'est un bien grand mot car je doute que la tombe qui se trouve au fond du jardin et la petite cérémonie que j'ai organisé soit un vrai enterrement... Je continuais tranquillement ma vie en allant toujours dans le même collège pourri, voyant les mêmes têtes tous les jours et en plus de ça, j'héritais du casier numéro treize au lycée, la poisse me suivait vraiment. Il y a des jours où je ne me reconnaissais pas, je ne savais plus qui j'étais, une minute j'étais bien et l'autre je me mettais à hurler en criant de la laisser tranquille, mes professeurs commençaient à s'inquiéter de mon comportement qui pouvait être parfois agressif donc ils me conseillèrent un psychiatre très réputé, j'y suis donc allée et me suis retrouvée ici, d'ailleurs je sais pas trop ce que je fais là mais bon, ça me fait du bien d'être ici.

PSYCHIATRE - « Ne vous inquiétez pas mademoiselle Strugatsky, vous êtes ici chez vous. Je vous revoie la semaine prochaine afin qu'on mette quelque chose en place. Madame Juicykton, vous pouvez ramener miss Strugatsky chez elle s'il vous plaît ? »

PRÉNOM ϟ Hélène. ÂGE ϟ 18 ans. AVIS SUR LE FORUM ϟ Beau contexte et design magnifique. ENDROIT OÙ VOUS L'AVEZ TROUVÉ ϟ Par partenariat. TYPE DE PERSONNAGE ϟ inventé. CODE RÈGLEMENT ϟ you wanna be a looser like me. VOTRE DERNIER MOT ϟ Merci de votre aide pour le choix de l'avatar .