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Ma vie. Un peu compliquée je dois dire, dès le départ. Premièrement, mes parents. Car oui, que serions-nous sans eux ? Mon père, Neil Preston, était un grand producteur de musique de son temps. Il avait vu passer les plus grands, et s'était, par la même occasion, rempli les poches. Ma mère, Carrie Preston, quant à elle, venait d'un milieu modeste. Elle était tombée sous le charme de ce grand séducteur qu'était mon père, et ils se sont mariés quelques temps après. Le petit couple parfait ; l'homme aidant sa femme venant d'un milieu modeste à avoir une belle vie. Tu parles ! « Chéri, ça va aller. » Voila la seule phrase que ma mère avait répété quand je lui ai avoué pour papa et l’autre. Ça va aller. Elle me le répétait tous les jours, essayant de me faire croire que tout irait bien. Mais non maman, ça n’irait pas, ça n’irait plus. Notre famille n’était déjà plus qu’un tas de poussière, mais ce soir là, une bourrasque de vent l’avait balayé. J’avais douze ans quand j’ai surpris mon père dans les bras d’une autre. Il baisait avec une voisine, qu’on avait maintes fois invitée à la maison. D’apparence, elle était si belle, si gentille avec nous que ma mère lui préparait parfois des crumbles aux pommes. Mais quand je l’ai aperçu, pratiquement nue, à califourchon sur mon père, comme un vulgaire animal, je n’ai plus vu cette femme que je respectais tant. Elle n’était plus que la salope qui avait brisé ma vie et celle de ma famille. Je la détestais. Je les détestais. Tous autant qu’ils étaient. Papa, pour avoir trompé maman. L’autre, pour avoir volé notre vie. Et maman pour n’avoir rien fait. J’ai toujours haïs cette partie de ma vie. Le moment fatidique où ma vie avait basculé, me faisant entrer de plein pied dans le monde des adultes. J’ai vu des psychologues, car mes parents le voulaient. Il paraîtrait que surprendre son père en pleine action, ça pouvait déstabiliser un gosse. Mais visiblement ça ne m’avait rien fait. Depuis des années je savais que mon père n’était plus amoureux de maman. Leurs regards se fuyaient constamment, leurs baisers se faisaient rares, et les cadeaux aussi. Ils ne restaient ensemble que pour moi, leur unique enfant. Mais heureusement que dans toute cette atmosphère, j'avais Katherine Riley Blackwood. Ma meilleur ami depuis la maternelle. Je lui piqué sa barbie, elle me piqué mon goûter, on était quittes, et depuis, on ne se lâche plus. Elle est la seule fille qui m'ait jamais compris et ne me comprendra jamais. C'est d'ailleurs avec elle que je passais le plus clair de mon temps, on était toujours accroché l'un à l'autre. Brefouille, une amitié comme celle qui nous liait, il n’y en avait pas trente-six.




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Voilà deux heures que je suis assis devant le casier de Riley, on m'a écrasé six fois la main et j'ai mal au derrière à force de rester immobile sur le sol. La cerise sur le gâteau ? Elle ne vient pas. Deux heures à l'attendre, enfin, quatre, si on compte celles que j'ai passé chez elle hier soir a l'attendre mais étant donné qu'elle n'est pas rentrer de la nuit, je n'ai pas pu lui parler. Le lendemain juste après la fin de mes cours, j'ai prit la décision de rester là a attendre qu'elle vienne a son casier. Cela fait un mois grand maximum que Riley ne m'a pas adresser la parole et j'ai réellement besoin de mettre les choses au clair avec elle. Depuis qu'elle a fait la rencontre de ce type Lennon, un garçon populaire du lycée, Riley m'a complétement délaisser pour lui. Je dois avouer que leur rapprochement me tape réellement sur le système, j'ai essayer de rester en dehors de tout ça, je me suis même dit que ça lui passera après deux semaines mais apparemment j'ai eu tord, pour dire moi qui admet m'être tromper, c'est pas tout les jours alors profitez. Je me dois de la stopper avant que ça n'aille trop loin entre eux, d'après certaines rumeurs qui me sont parvenue aux oreilles, il se pourrait bien que le gars populaire se foute de la gueule de ma Riley. Je ne peux pas laisser un truc pareil se passer, je ne connais trop bien ma Riley, elle ne s'en remettra pas de si tôt, elle est trop fragile pour supporter une chose pareille. A présent, mon portable est collé contre mon oreille, je hurle « Foutu répondeur et puis qu'elle aille au diable elle et son connard de copain. » Ce qui à l'air d'attirer l'attention de certains de mes camarades qui se retourne sur mon passage, mais ce n'est pas la leur que je veux mais celle de Riley. C'est comme si elle ne se soucier plus de moi, je suis devenue comme invisible pour elle. Je sens la colère bouillir en moi, je n'en peux plus d'attendre qu'elle pointe le bout de son nez. Au moment ou, je me leve avec l'attention de partir, de loin, j'ai l'impression de distingue, la silhouette de Riley mais je n'en suis pas vraiment sur. « Qu'est que tu fiches, Ezra ? » La, j'en suis sur c'est bien Riley, mais elle a quelque chose de changer, sur le coup je ne réalise pas, je me frotte les yeux pour être sur que ce n'ai pas moi qui divague. Non, je ne rêve pas, Riley est devenue blonde, j'ai du mal a y croire mais c'est bien réelle. Je suis assez surprit, mais je me ressaisis bien vite. « Bordel, Riley, il faut qu'on parle ! » J'essaye de garde mon calme mais c'est trop dur, je l'attrape par le bras, elle rouspète légèrement mais elle se résigne et se laisse entrainer dans une salle de classe vide. Je ferme la porte dernière nous, elle n'a pas l'air de vouloir ouvrir la bouche, même un regard elle ne me l'adresse pas donc je décide de la confronter. « Pourquoi tu ne répond pas à mes messages, je peux savoir ? Ça doit bien faire un mois que tu ne m'a pas adresser la parole ! C'est quoi ton problème ? » « Tais-toi, Ezra. Je ne veux pas répondre à tes questions, d'accord ? Fous-moi la paix pour une fois. » Elle n'a pas oser me regarder, elle a surement peur de ma réaction. Toujours très sérieux, je me pointe face a elle, ainsi elle est forcé de me regarder. « Oh, non Riley, non. Non, je ne vais pas me taire, et non je ne vais pas te foutre la paix ! Tu passe tout ton temps avec l'autre abrutie alors qu'il s'en fout de ta gueule ! » Elle se décide enfin a me regarde droit dans les yeux puis elle me lâche l'air de rien. « Tu dis n'importe quoi, t'es juste un gros jaloux ! Non mais regardes toi, tu me fais pitié ! » Moi, jaloux ? Surement pas bon si un peu sur les bords mais, pour le moment, je ne suis pas entrain de lui faire une crise de jalousie, je veux juste lui faire prendre conscience que c'est juste un branleur afin qu'elle ne tombe pas de haut mais rien n'avait l'air de marcher « Très bien, si tu le prend comme ça, débrouille toi et reste avec qui bon te semble mais après il faudra pas venir pleurnicher sur mon épaule, puis franchement entre nous, devenir blonde pour plaire a un garçon, sérieux ?! Bordel, t'es trop conne, je veux plus te v... » Je n'ai pas eu la force de continuer ma phrase, j'ai préférée sortir de cette pièce, de ce lycée et rentre chez moi. J'ai sûrement gâcher notre amitié, mais j'ai au moins enlever un poids. On sait plus vraiment revus depuis ce fameux jour.





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Ma gorge n'est toujours pas décidée à se dénouer, depuis avant hier je réfléchis seul. Ma chambre n'a pas vu de lumière naturelle depuis hier, broyant du noir je n'ai pas envoyé le moindre petit signe de vie à mon entourage. Attrapant furtivement ma montre je regarde l'heure qui affiche dix sept heures trente. Je me suis pourtant promis d'y aller en début de matinée, mais mon courage s'est complètement dissout. Mon imagination me torture déjà assez, pourtant il faut bien que je me bouge. Tout en m'extirpant de mes pensées, je soulève la lourde couette du lit dans lequel j'ai passé la plus grosse partie de ma journée. Un petit coup d'œil à mon répondeur qui m'indique que j'ai dix messages vocaux non écoutés – pas étonnant vu mon mode de vie récent-, je soupire bruyamment en appuyant sur le bouton lecture de mon portable. Neuf de ces appels sont inintéressants pour moi, seul le dixième conte vraiment, c'est la mère de Riley qui vient de m'annoncer qu'elle s'est enfin réveiller. Immédiatement après son annonce, je me rue vers la sortie, armée de mon portable et de mes clés.

« Numéro 43 » J'ai encore une bonne vingtaine de minutes avant de passer. Mon attente n'en fini plus. Adossée au mur je regarde droit devant moi, sans prêter d'attention particulière à ce qui m'entoure, j'attends juste que le numéro 45 apparaisse en rouge sur les petits panneaux placés au dessus des têtes de toute personne qui travaille, discute ou patiente à l'intérieur de cette salle bondée. « Numéro 45 » Mon tour arriva plus vite que je l'ai prévue, je me dirige vers un guichet libre. Lançant un bonjour à la secrétaire je commence le blabla habituel avant même qu'elle m'aie posé une seule question. « Je m'appelle Ezra Preston. Je suis venu voir Katherine Riley Blackwood. » Mon interlocutrice affiche une expression de surprise. « Monsieur pour les visites il n'est pas nécessaire de passer par ici, vous avez perdu un temps fou pour un rien. Pour les chambres il suffit de demander à l'accueil. » Je lance d'une petite voix stridente. « Très bien, merci » Je bouillonne, je viens de perdre une heure et demie à attendre bêtement avec un ticket dans les mains. Dans ma tête de nombreux noms d'oiseaux s'entrechoquaient. M'attaquant aux portes d'ascenseur je me forge un passage dans le petit espace. Dans le couloir je n'eus aucun mal à reconnaître la mère de Riley. Je ne l'embrasse même pas qu'elle m'attrape dans ses bras, mouillant mon tee-shirt de ses larmes. Une fois libéré de l'emprise de cette chère madame Blackwood, sans rien dire je m'approche de son lit. « Riley... Je te dérange ? » Elle me sourit pour me faire comprendre que non alors je lui prend la main en déposant un baiser sur son front. « Comment ça va aujourd’hui ? » « Comme une personne qui a voulu mettre fin à ces jours. » Je fus un peu abasourdie par sa réplique, mais je ne dis rien, je me contente simplement de la regarder. Elle remarque bien vite que sa blague n'est pas très bien passer. « Désolée…. Sinon toi ? » Je baisse la tête, je lui lâche la main pour ensuite passer ma main dernière ma nuque, sans dire un mot. Bien rapidement, Riley réalise mon changement de comportement, elle enchaine. « Ezra qu’est-ce qui se passe ? » Je serre mes poings avant de lui avouer « Je sais que tu ne voulais pas que je parle à Lennon, mais je l’ai fait. » Oui, je l'ai fait malgré sa volonté, mais, après tout c'est a cause de ce petit connard que Riley se trouve à présent dans un lit d'hôpital. Il a ridiculiser ma petite Riley devant tout le lycée pendant un bal de promo, voilà ce qui l'a pousser a faire un geste si désespéré. Pourtant, j'ai essayer de la prévenir mais elle n'en a fait qu'a sa tête comme d'habitude, puis il faut dire qu'après notre grosse dispute, j'ai laisser tomber en me disant qu'elle réalisera par elle même. En réalité, j'ai fait bien plus que lui parler, a la base, je suis partie le voir avec la simple attention de lui parler mais je n'ai pas pu résister à l'idée de lui foutre mon poing dans la figure, je sais bien que rien ne se résout par la violence mais au moins ça m'a soulager. J'ai un belle œil au beurre noir pour le prouver mais je préfère garder le chapitre bagarre pour moi et pour éviter que Riley ne le remarque, je porte des lunettes de soleil, j'ai même penser au maquillage mais étant donner que je suis pas un grand douée dans ce domaine, j'ai laisser tomber l'idée. « Pourquoi ? Il est dix fois plus fort que toi Ezra, en plus il n’en vaut pas la peine. » Elle souffle un coup et fit tomber sa tête sur son oreille, pas dupe pour deux sous, elle a bien comprit pourquoi j'ai des lunettes sur le nez alors je lâche d'une voix douce un petit désolé.


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Quelques temps plus tard, Riley décida de partir de Johnson Creek, afin, de se changer les idées. Son départ m’attrista, bien plus que je pus l’imaginer mais je fis avec. Que devinrent notre amitié ? On décida de garder contact durant sept ans via téléphones et internet, sans jamais couper les ponts, je sais, on est fort.




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Entre Jaimie et moi, c'est une très longue histoire. Tout débuta lors d'une soirée comme les autres. J'ai était invité par un de mes amis et il se trouve que Jaimie était elle aussi invitée. Sans le savoir, on partageaient le même ami depuis des années mais on ne s'était encore jamais rencontré. Toute la soirée, je l'avais passé dans le grand pouf qui ornait dans la pièce. Puis vint le solo, comme dans toutes grandes fêtes. J'avais fait connaissance avec pas mal de filles mais aucune n’était à la hauteur pour partager cette danse. Lorsque je remarqua cette magnifique femme sur la piste de danse. Elle était si belle, si sensuelle, si parfaite. Je m’avança vers elle et l’invita à danser. Ce ne fut pas une, pas deux, pas trois mais bien toutes les danses qui vinrent jusqu’à clore la soirée, qu’on dansa ensemble. Il y avait une alchimie entre nous. Une entente que je n’avais jamais connue auparavant. A la fin de la soirée, on s’était promis de se revoir et on n’avait pas dérogé à la règle. Puisqu’on se vire au début une fois pas semaine, buvant un café ensemble et se racontant nos vies respectives. Puis plus le temps passé, plus on se rapprochait pour finir ensemble dans le même appartement. J'y croyais à cet amour, c’était le pure et le dure. Je ne pouvais plus me défaire de ma compagne. Elle était encrée dans ma peau. Et, tellement fort que deux ans après, je me lança vraiment. « C’est quoi cette surprise dont tu me parles tant, Ezra ? » « Jaimie, mon amour, cela fait deux ans que nous sommes ensemble et jusqu’à présent, il n’y a jamais eu de problème entre nous. Je me sens complètement tout autre quand je suis avec toi. Je t’aime tellement ça tu le sais ? » « Oui je le sais chéri et je t’aime aussi. » « Aujourd’hui, je profite de cette soirée sur le bord de l’eau pour te demander ta main. Alors, Jaimie, veux-tu m’épouser et demeurer à jamais madame Preston ? » « Oh mon dieu, bien sur que oui, je le veux, Ezra. Je t’aime tellement. » Tellement que je voulais que tout soit parfait, je n'est pas hésite à débourser beaucoup d’argent pour acheter une magnifique bague, que je mis au doigt de Jaimie. Ce fut au mois d’octobre que je fis ma demande et on officialisa cela au mois de mai. Ce fut un vrai mariage de princesse. Robe blanche, lancers de pétales de roses, la mariée arrivant dans un carrosse puis au bras de son père. Tout était si magnifique.

Puis quelques mois plus tard, ce fut le choc pour moi, je crue faire une crise en entendant les paroles prononcés par ma désormais femme. J'étais devant la porte. Ma femme, elle, était déjà sur le pas de la porte avec ses valises à la main. Je la regardais mais n'arriver pas à prononcer un mot. Ce fut elle qui prit la parole en première. « Ezra, je suis désolé, il faut que je parte. Il faut que je quitte cette ville. Je suis désolé, on doit mettre fin à notre mariage, ce sera mieux ainsi. » « Mais pourquoi tu me dis cela, Jaimie ? Tu ne peux pas me laisser tomber. On est si bien ensemble, il n’y a rien qui fosse notre amour. Je ne veux pas que tu partes, je ne veux pas que tu me laisses seule. Tu n’es d’ailleurs pas obligé de partir. Reste avec moi. » «Je suis désolé, Ezra, je m’en vais. Je t’assure que je ne peux pas rester. Crois moi, c'est mieux ainsi. Je t’aime Ezra et je t’aimerais toujours, ne l’oublie jamais. » Ce fut les dernières paroles que j'entendis de la part de ma femme qui deviendra par la suite mon ex-femme. Elle s'en était aller sans vraiment donné de véritables raisons à son départ. J'avais quand même bien voulu signer les papiers du divorce. Je ne le voulais pas, je l'aimais tellement. Mais, je ne pouvais pas rester accrocher à elle, si cette dernière ne me désirez plus. Je mis des mois à me relever. Perdre la femme qu’on aime n’est surement pas la chose la plus facile à accepter et je peux en témoigner. Je n'ai jamais su pourquoi elle est partie, pourquoi elle m'a laissé comme ça. C’est au détour d’une rue que je pense l’avoir croisé, un an et demi après son départ. Mais ça ne peut pas être elle, cette femme avait une petite fille, et Jaimie, elle, n’en a jamais eu. Enfin, de ce que je sache bien sur.




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Cela faisait maintenant trois mois que Riley était de retour en ville après sept années loin de Johnson Creek, elle était enfin revenue. Quand je l'ai revue, elle se tenait debout devant la porte de mon appartement, j'étais tellement heureux de la revoir en chair et en os que je lui immédiatement sauter dessus, elle ne m'avait même prévenue de son retour mais je m'enfichais tout ce qui comptait c'était d'enfin la revoir. Au début, je l'ai héberger pendant quelques temps en attendant qu'elle se trouve un travail et un appartement. Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle voulait faire donc quand j'ai entendue qu'un local se libérer dans les environs, je n'ai pas hésiter une seconde, après comme j'avais les moyens grâce à mon travail dans la maison de disque de mon père, je l'ai immédiatement acheter pour Riley afin qu'elle ouvre son propre commerce. Il faut dire que je me suis battue jusqu'au bout pour avoir ce local, d'ailleurs, elle eu drôlement du mal à me croire quand je lui est annoncer la nouvelle mais quand je lui est fait visiter l'endroit, elle ne pouvait que me croire. On prit bien un mois avant d'ouvrir son épicerie afin de tout mettre en place. Maintenant, je passe le plus clair de mon temps a l'aider dans cette petite épicerie, en parallèle de mes autres boulots, j'ai toujours était quelqu'un de polyvalent. Mais, notre amitié n'est plus la même depuis quelques semaines et cela m'inquiète de trop. Un sentiment bien plus fort qu’une simple amitié est en train de naître au plus profond de moi mais je n'ose lui avouer et essayer vraiment de refouler mes sentiments et après mon divorce je sais pas si je me sens prêt à entamer une nouvelle relation. Je ne veux juste pas perdre ma meilleure amie. Depuis mon divorce et maintenant le fait que je ressente peut-être plus que de l'amitié pour Riley, je me consacre principalement à avoir le record de femme qui passent dans mon lit. Je suis très proche du record du monde, je l'avoue. Je dois tout de même ajouter qu'il y a peine une semaine, j'ai essayer d'embrasser Riley dans son épicerie mais rien ne s'est passer entre nous car Finn le frère de Riley est arriver, toujours là quand il faut pas celui-là. J'ai été quelques peu déçue de la tournure des événements mais d'un autre c'est peut être mieux comme ça, même si je dois avouer que depuis ce fameux jour, je n'arrive plus à me sortir Riley de la tête. M'en fin, je suis perdu côté cœur. Riley ? Jaimie ? De toute façon, il n'y a pas mille réponse. Jaimie a disparu de ma vie et Riley, je n'ai pas envie de gâcher notre relation pour des peut-être sentiments ...

XAVIER SAMUEL
Bienvenue

Merci pour votre accueil
RILEY
Merci plutôt à toi d'avoir écrit ce superbe scénario
Oui, je pense que j'aurai deux ou trois question, je te MPotte surement plus tard, au faite j'espère que le pseudo te convient ?

Merci à vous pour l'accueil
EDIT ; je pense avoir terminer ma fiche